Et si les mots choisis pour parler d’orientation faisaient toute la différence ?Changer de voie, ce n’est pas un échec : c’est une expérience, un apprentissage, une façon de mieux se connaître. Pourtant, dans le discours institutionnel comme dans l’accompagnement, certains mots peuvent freiner, blesser ou décourager.
Dans un monde du travail en pleine mutation, développer ses compétences est devenu incontournable. L’AFEST (Action de Formation en Situation de Travail) replace l’acquisition de compétences au cœur même de l’activité professionnelle.
Quand on parle d’orientation ou de reconversion, pensons-nous vraiment à tous les métiers ?Ou laissons-nous parfois, sans le vouloir, les stéréotypes de genre limiter nos horizons ?Ces représentations toutes faites influencent les parcours dès le plus jeune âge… Mais de nombreux professionnels s’engagent pour les déconstruire et ouvrir de nouvelles perspectives.
Si l’on vous demandait d’associer les termes « jeu » et « (ré)orientation » quels termes vous viendraient à l’esprit ?Est-ce que « individualiser », « dédramatiser », « développer des compétences et de la créativité » feraient partie des propositions que vous citeriez ? Car dans ce nouvel épisode, ce sont bien par ces conclusions que notre invitée commence !
Vous êtes-vous déjà demandé comment les spécificités de votre territoire influent sur les opportunités d'emploi et les profils des personnes accompagnées ?Pour prendre des décisions éclairées, il est essentiel de s'appuyer sur des données socio-économiques fiables. Ces données, provenant de sources multiples, couvrent diverses facettes de notre réalité et sont cruciales pour élaborer des politiques régionales, accompagner des publics dans leur reconversion ou orientation et définir la pertinence de nouvelles offres de formation.
Derrière les chiffres et les statistiques se cache une réalité souvent méconnue : l'illettrisme. En France, près de 1,4 million d'adultes sont concernés par ce phénomène, qui touche profondément leur vie quotidienne et professionnelle.
Est-ce que vous vous êtes déjà interrogé sur la place qu’avaient les émotions dans votre travail ? Saviez-vous que notre cerveau est profondément influencé par nos émotions, souvent bien plus que nous ne le pensons ? Daniel Kahneman, lauréat du prix Nobel d'économie, a exploré cette dynamique à travers ses travaux sur les deux systèmes de pensée : le système 1, intuitif et émotionnel, et le système 2, plus réfléchi et analytique. Dans cet épisode de podcast, nous nous inspirons de ces concepts pour explorer le territoire intérieur, celui des émotions. Pour mieux se comprendre et transformer sa pratique d’accompagnement des publics, développer l’intelligence émotionnelle est la clé.
Imaginez un réseau de neurones, où chaque connexion renforce les compétences, amplifie les idées et élargit le champ des possibles. C’est ce que l’intelligence collective permet de réaliser : mettre en réseau les membres d'un groupe pour créer une dynamique puissante, où chacun devient plus fort, plus créatif et plus résilient.Comme les neurones d'un cerveau, chaque individu apporte sa propre expertise et ses perspectives uniques. Ensemble, ils forment un tout plus grand que la somme de ses parties, capable de résoudre des problèmes complexes et d'innover de manière inédite.
